Tout a commencé avec Leo samedi passé. Le pauvre, il se sentait tellement mal! Puis, ça a été mon tour, mercredi passé. Trois jours de forte fièvre. Christian emmenait les enfants à l’école et au jardin d’enfant, sauf Leo qui restait avec moi, et nous passions la journée seuls. J’étais tellement mal que j’avais de la peine à aller de la chambre à la cuisine. Le premier jour, j’ai quand-même miraculeusement réussi à préparer une soupe aux lentilles pour Leo. Je savais qu’il était important de boire, mais c’était si difficile de se lever pour aller chercher de l’eau que je ne suis pas parvenue à boire autant que j’en aurais eu envie! J’aurais aussi volontier ouvert la fenêtre plus souvent, mais cela demandait trop d’effort! Je n’ai mesuré ma température que le troisième jour, car ce n’est qu’à ce moment là que j’ai trouvé la force de me déplacer jusqu’à la salle de bain la plus éloignée, où se trouvent le thermomètre! Ce jour là, j’avais 39.7 et donc, je suppose que ma température était encore plus élevée les jours précédents. Le deuxième jour, je me suis demandée comment j’allais bien pouvoir préparer quelque-chose à manger pour Leo! Lorsque je lui ai demandé s’il voulait du pain, il m’a montré un bout de pizza qui restait du pique-nique de Simon. Heureusement, je pouvais me recoucher.
Pour m’aider à supporter la fièvre, j’ai utilisé la méthode des bains dérivatifs de France Guillain. J’ai emballé un pack réfrigérant dans un linge et le l’ai placé entre mes jambes. Cela apporte tout de suite un soulagement. Le seule problème c’est qu’il fallait que je me lève régulièrement pour aller le changer! J’ai appliqué la même technique avec Nicolas qui est aussi tombé malade quelques jours plus tard et ça a aussi bien fonctionné.
Aujourd’hui, je dois aller chercher un certificat médical chez le médecin. On va voir comment je tiens sur mon vélo…
