L’armillaire commune envahi la forêt en ce moment. Elle est reconnaissable à sa manière de pousser en touffes sur le bois mort ou sur les arbres affaiblis, dont elle précipite la mort. Son chapeau est recouvert d’écailles brunes ou noirâtre appliquées sur la surface, et qui s’enlèvent lorsqu’on les frotte, ou sous l’effet de la pluie.
La membrane cotonneuse qui protège les lamelles au début, se transforme en anneau lorsque le chapeau s’étale.
Les lamelles sont de couleur beige-crème au début et deviennent plus foncée avec l’âge. C’est un bon critère pour déterminer la fraîcheur des champignons. Contrairement à d’autres champignons poussant aussi sur le bois et avec lesquels on pourrait la confondre, l’armillaire a une sporée blanche. Par contre, la couleur de son chapeau est très variable et ne constitue pas un bon critère de reconnaissance.
Lorsqu’on la cuisine, il est important de la cuire suffisamment longtemps, l’armillaire crue contenant des substances toxiques qui sont détruites sous l’effet de la chaleur.
Bonjour, sur la page « à propos de ce blog » vous évoquez un livre sur les maladies auto-immunes, j’aimerais beaucoup savoir de quel livre il s’agit car ma maman a une spondylarthrite ankylosante.
Je vous remercie
Isabelle
Bonjour Isabelle,
Il s’agit de « the Auto-immune Fix » de Tom O’Bryan. Malheureusement, je ne trouve pas de traduction française.
Charlotte